British artist D*Face who exhibit @Stolen Space Gallery in Brick Lane has just done a new mural in East London on Commercial Street called
"Guilty Pleasures". Because of the rain, the artist stopped his work for a day and finished it yesterday/
L'artiste Anglais D*Face qui expose actuellement à Stolen Space Gallery à Brick Lane vient de terminer un nouveau mur dans l'est de Londres sur
Commercial Street intitulé "Guilty Pleasures". L'artiste a eu du mal à finir son mur à cause de la pluie/
Bristish artist Dean Stockton aka D*Face is actually exposed @ Stolen Space Gallery in London for his exhibition "New World Disorder". He has still been interviewed by Interview Magazine for his solo show which run until june 23rd/
L'artiste Anglais Dean Stockton alias D*Face est actuellement exposé à la Stolen Space Gallery de Londres pour une exposition solo intitulée 'New World Disorder". L'artiste a été également été interviewé par le magazine Interview. L'exposition dure jusqu'au 23 juin prochain/
Artiste de la rue Anglais commeBanksy, D*Face détourne les produits de consommation courante et les images de masse.
Influencé par la culture skate Américaine des années 80, D*Face se dit vouloir être une alternative à la
publicité de masse qui nous envahit. Ne se prenant pas au sérieux, comme tout bon artiste de la rue qui se respecte, ce qui amuse D*Face est de voir les réactions des passants.
C'est en feuilletant le livre "Spraycanart" que lui a offert sa mère que D*Face, mauvais élève, s'intéresse à
l'art de la rue et commence à grapher, au lieu de dessiner sur ses livres d'école. Il devient skater à force de regarder séries et films Américains puis s'imprègne de toute cette culture de la
rue. Il commence à envahir Londres d'autocollants pour créer un "entracte subversif à toute la merde qui l'entourait". Puis il se rend compte que les gens et les artistes commencent à
s'intéresser et à collectionner ses stickers, c'est à ce moment qu'il rencontreShepard Fairey.
Son principal message consiste à faire ouvrir les yeux des passants, en détournant des images fortes,comme le
Ché, image que tout le monde s'est approprié, commercialement, sur tous les supports, les T-shirts, leurs montrant que cette image commerciale est très loin des convictions profondes qu'avait le
révolutionnaire. "Il s'agit d'encourager les gens à ne pas seulement voir, mais aussi à regarder ce qui les entoure, repousser les stéréotypes de notre culture, ne pas rester passif devant le
règne de la consommation ostentatoire".
Aujourd'hui il essaie de conjuguer sa vie familiale et son travail, jonglant entre expos dans les galeries
dans les grandes capitales et, ce qui le passionne le plus, travailler dans la rue.